
L’élan ne nous vient-il pas directement de cet émerveillement interrogatif qu’éprouvèrent les premiers humains face aux scintillants grimoires du Ciel nocturne? Ne nous viendrait-il pas aussi de leurs effrois tenaces face aux formidables caprices d’une nature parfois terriblement hostile? Ne nous viendraient-ils pas encore et pour finir de cette fascination qu’ils éprouvèrent, et dont ils témoignèrent avec éclat, pour le comportement d’animaux capables de leur apporter tantôt la vie et tantôt la mort?
Toute idée ou représentation mentale ne s’émancipe de l’expression qui la porte qu’en se glissant dans une nouvelle forme expressive, quitte à ce que celle-ci prenne l’apparence d’un schéma ou d’un graphe, d’un dessin, voire d’un rébus rapidement enfoui au cœur d’un inextricable et foisonnant réseau de neurones enchevêtrés.
Que l’esprit des majuscule, sachant préserver en lui un minimum d’espièglerie, se garde bien de toute compromission avec l’esprit de pesanteur!
Rétablir la vérité pour elle-même et au nom de la justice est le seul et véritable honneur d’une liberté que nous n’aurons cessée de revendiquer au nom de cette même vérité et de cette même justice.Les vestiges du Vertige, en nous, comme des semences d’ivresses à venir…
Car c’est en saisissant au vol les fragments jaillis sans prévenir d’un inextricable et foisonnant réseau de neurones enchevêtrés que nous réalisons peu à peu et sans nous en rendre vraiment compte l’Oeuvre-mosaïque…
Que vaudraient les moments du Bonheur sans les intermittences de la Raison?
Ce qui ne cesse de tourner et de se retourner à l’intérieur d’un inextricable réseau de neurones enchevêtrés ne saurait être identifié clairement avant qu’il ne surgisse dans la lumière intermittente et clignotante d’une conscience qui, dans la plupart des cas ne pourra faire mieux que se lancer à sa poursuite
L’ineffable de l’Un risquant de nous asphyxier tandis que l’illimitation ne cesse de travailler à notre dispersion, dissémination ou dissolution n’est-ce pas quelque part sur l’échelle du Multiple qu’il nous appartient de nous déplacer prudemment, tantôt dans un sens et tantôt dans l’autre afin d’esquisser nos indispensables pas de Danse…
La signification qu’on attache au mot Vide ne devrait pas avoir d’autre ambition que de se dissoudre elle-même et, avec elle, toutes celles de ceux qui tenteraient de s’en approcher
L’Omniprésente indifférence d’une Éternité Vide est l’Accueil d’un Temps qui ne cesse de s’anéantir à l’extrême bord de chaque instant
A mesure que s’étendra l’empire des machines il deviendra plus pressant de délimiter et de défendre un espace de résistance suffisant pour que soit préservé et enrichi ce propre de l’humain dont sont directement issues l’invention, la mise en œuvre et la prolifération de ces mêmes machines!
Ancre-toi dans l’Avenir et, si la Chance te sourit, tu te sentiras pousser des ailes.
Le principe du plaisir de l’un ne pouvant pas ne pas fonctionner comme principe de la réalité pour chacun des autres c’est bien dans le partage et la réciprocité d’un égal respect que se maintiendra au mieux la distance nécessaire à la continuation du jeu!
L’effort d’une stylisation de nos déterminismes et déterminations est le mieux que nous puissions offrir pour aider à la stylisation de l’autre comme autre sujet…
Certaines des pensées qui nous traversent l’esprit et que nous nous efforçons de saisir au vol pour les formuler le plus clairement possible ne devraient-elles pas pourtant ne rester accessibles qu’à ceux qui mériteraient une telle Chance?
Et la Générosité du Grand Hasard de se tenir encore et toujours fin prête juste au-delà de ce Bien et de ce Mal dont il nous aura tout de même été permis de sentir régulièrement les effets et dont l’éventualité n’aura cessée de se réapparaître pour nous à chaque carrefour, croisement et autres bifurcations d’un indispensable et double labyrinthe à Ciel Ouvert et à Claire Voie…
Certains de ceux qui se flattent de ne croire en aucune divinité, ni toute puissante et encore moins protectrice semble néanmoins croire à quelque Mal tout à fait radical ou diabolique: ne le voyons-nous pas en effet donner à ce Mal la forme d’idoles terriblement menaçants?
L’Universalité concrète, sous-tendant l’Horizon de chaque Délibération, leur permet ainsi de tracer les fils d’innombrables perspectives puis de les croiser et de les recroiser, tressant et tissant les inépuisables possibilités de la Transcendance avec ces multiples et changeantes circonstances auxquelles l’ensemble de ces Délibérations resteront immanquablement attachées.
La musique n’existe véritablement pour nous qu’en frappant cette corde infiniment sensible à partir de laquelle l’esprit, toujours à nouveau, s’élance vers d’improbables sauts, pirouettes et autres stupéfiantes acrobaties!
La Poésie pose un Dire toujours à nouveau le même et toujours à nouveau différent tandis que la philosophie s’efforce obstinément d’en indiquer la place sur sa cartographie mentale, tente même de décrire cette place mais sans jamais fournir les moyens de s’y rendre soi-même…
Pour la démocratie comme pour la délibération qui la fonde en la légitimant il apparaît bien que toute négociation permettant de repousser voire d’éviter le recours à la violence est déjà en elle-même un but et une valeur en soi. Pour tout régime despotique une négociation, quel qu’en soit le but particulier, n’est qu’un instrument utilisé de façon plus ou moins rusée pour servir la cause de sa propre puissance: un instrument que l’on peut abandonner à tout moment pour revenir immédiatement à l’usage de la violence la plus brutale
Certains assemblent des morceaux de la vérité, les arrangent, les rafistolent et les disposent ensuite de manière à dresser une statue ou une statue, une idole qui s’éloignera d’autant plus de la vérité que leurs véritables intentions auront été, dès le départ, orientées dans une toute autre direction…
En démocratie le risque existe constamment qu’une majorité impose son intérêt particulier au détriment de l’intérêt général. C’est le cadre dans lequel s’exerce la délibération continuée qui, autant que possible, doit permettre d’éviter ce détournement de la démocratie. Dans les régimes despotiques on voit se constituer une caste de valets et de sbires qui, participant avec zèle à l’oppression exercée sur le reste de la population bénéficie de certains avantages tout en restant à la merci des caprices de celui qui entend bien garder tout le pouvoir.
Le despote, s’imaginant à tord ou à raison que sa fin est proche, ne risque-t-il pas de devenir tout à coup plus dangereux encore, obscurément tenté de parachever avant qu’il ne soit trop tard son entreprise de puissance et de domination, quitte à la faire disparaître et avec elle tous ceux qui y auront participé ou qui l’auront subie?
Tandis que la pensée, toujours à nouveau soumise aux contraintes d’une aveugle nécessité tente, une nouvelle fois, de brûler ses vaisseaux pour s’assurer enfin d’une victoire sans partage l’esprit, toujours aussi imprévisible et capricieux, danse déjà au beau milieu des flammes du brasier…
Le sentiment du sublime projette pour nous jusqu’au-delà de l’Horizon l’agitation qui, vibrante et tourbillonnante, circulait déjà à toute vitesse à l’intérieur d’un inextricable réseau de neurones enchevêtrés!
Le Sens est un courant qui, emportant le message, le fait tourner et tournoyer jusqu’aux limites de l’Horizon tandis que la signification, toujours aussi capricieuse, toujours aussi volage, traverse et retraverse en dansant les limites ajourées de ce même et tournoyant message…
Autant avec l’Un on risque, à terme, le mutisme ou l’étouffement, autant, en suivant les trop nombreuses traces du multiple on risque, tôt ou tard, de déboucher sur la plus inaudible et la plus joyeuse des cacophonies!
Qu’est-ce qu’un qu’un autre Sujet pour nous sinon celui ou celle qui saura nous renvoyer plus qu’un écho de nos indispensables questions?
Et toujours pour que la Beauté rende au Vrai l’éclat de son mystère…
Les mystères les plus grands comme les plus déroutants énigmes toujours déjà dissimulés dans les innombrables plis et replis d’une Seule, Unique et incommensurable synchronie.
Que deviendrait l’esprit, toujours aussi imprévisible et capricieux, sans les intrigantes partitions et autres improbables arabesques d’un langage qui, constamment, menace de l’étourdir ou de l’enivrer pour pour mieux l’entraîner vers un Horizon d’improbables et stupéfiantes acrobaties?
Prendre au sérieux l’enfant joueur en nous c’est rire de l’adulte qui se prend lui-même trop au sérieux!
Après avoir prêché dans un désert virtuel c’est bien vers la réalité sensible la plus immédiate et la plus concrète qu’il nous faudra nous tourner comme vers une source intarissable de nouveaux mirages et autres très attirantes illusions
Dans le cadre ou plutôt dans le carcan imposé par n’importe quel système totalitaire ou despotique l’horizon de l’impossible et Grand Amour n’est ni observable ni même envisageable sinon sous la forme dégradé et caricaturale ou grimaçante de l’amour d’un Chef. Dans un cadre démocratique ce même Horizon ne s’envisage jamais mieux que dans la perspective des marges bariolées de ce cadre et du point de vue de l’improbable rencontre
Le chiffre zéro, comme le nombre qui lui est associé dans notre numération et dans l’algèbre qui l’utilise serait-il une sorte de passager clandestin voire un véritable espion au service tant de l’infiniment grand que de l’infiniment petit?
La réalité dite physique ou matérielle au déchiffrement de laquelle, intégrée dans un cadre théorique adéquat, on applique notre formalisation logique et algébrique pourrait sûrement être interprétée tout autrement si lui étaient appliquées, intégrées à un autre cadre théorique, une logique et une algèbre toutes différentes mais dont on peut déjà craindre qu’elles dépasseraient les capacités humaines naturelles d’intelligence et de compréhension.
La musique Seule pour nous réinstaller au centre tout autant qu’aux marges indéfiniment déplacées du Paysage Sans Nom
Tandis que Schumann nous entraine dans une perpétuelle réinvention de la surprise, Chopin, à quelques pas, redessine pour nous d’improbables chemins au cœur du Paysage sans Nom
Le paysage sans Nom, ouvert aux divines surprises du Grand et Généreux Hasard, n’aura cessé de se faire l’écho de nos indiscrètes et insistantes, tonitruantes ou insinuantes questions…
Le nomade échappe à la tentation de construire ainsi qu’à celle d’agrandir et à la constante nécessité de tout consolider. Par contre il est de première importance qu’il apprenne à monter et à démonter sa tente en toutes circonstances, même Seul et toujours dans les règles de l’art.
Ce qu’on appelle Contrat social se maintient d’abord en chacun de nous comme virtualité ou puissance d’imaginer, de concevoir, puis comme capacité de mettre en œuvre les conditions pratiques et collectives, intellectuelles et formelles de la Délibération continuée. Les conditions formelles de cette Délibération doivent, en effet, être accompagnées des conditions matérielles et culturelles qui, seules, peuvent la rendre effective. Et parmi celles-ci l’éducation de ceux qui, un jour, auront à choisir de participer ou non à la Délibération constitue un irremplaçable passage obligé.
Comment le peuple se constitue-t-il, sinon, d’abord et avant tout, par l’aspiration de tous ceux et de toutes celles qui souhaitent le réaliser en participant à la Délibération continuée. Ce peuple ne peut, ensuite, se maintenir et durer que par la mise en œuvre d’une capacité commune à concevoir les règles nécessaires à cette Délibération pour les établir et s’y soumettre, les maintenir et, éventuellement, les faire évoluer dans le respect des principes qui les sous-tendent.
Les ennemis de la démocraties, ennemis intérieurs comme ennemis extérieurs, savent très bien en prendre le masque et le conserver tant qu’ils parviennent à donner le change sur leurs intentions et à tirer profit de cette situation. Ils savent bien sûr aussi faire tomber ce masque dès qu’ils y voient un plus grand avantage! ils leur arrive aussi, lorsqu’ils sont eux-mêmes trop menacés, d’être contraints pour se défendre de retirer brutalement ce masque posé sur leurs véritables intentions.
La logique du despote le pousse immanquablement à justifier par l’existence d’ennemis extérieurs ou intérieurs réels ou supposés la domination qu’il exerce sur le peuple et à en faire un inépuisable sujet de propagande. Cette logique le pousse ainsi à traquer au sein du peuple tous les traitres, alliés et autres espions supposés au service de ces mêmes ennemis réels ou supposés. L’usage de la torture pour obtenir des aveux en est le plus souvent un aboutissement on ne peut plus réel.
Connais-toi dans les moments de la perte; ressaisis-toi dans les moments du doute!
Le despote à moins de mal à utiliser la force la plus brutale, qui fait partie de son principe et de sa raison d’être, qu’une démocratie dont les premiers principes, abstraits, en constituent aussi l’idéal. Tandis que le despote manipule le monde des idées pour donner une apparence de justification à son usage de la force, la démocratie, de son côté, tente de concevoir l’usage légitime de la seule force dont elle a besoin pour se défendre, défendre ses principes et en réaliser l’idéal.
Car le Grand Vide n’a en aucune façon besoin d’être agrandi ou bien, au contraire, rapetissé et encore moins amélioré ou perfectionné et en parcourir la moindre parcelle équivaut à le parcourir en totalité
Le vrai doute, toujours, pour nous ouvrir en grand les portes de l’enthousiasme et de l’émerveillement!
L’instantanéité, prise comme unité de mesure, ne nous imposerait-elle pas aussitôt de n’avoir plus à choisir qu’entre la plus furieuse des agitations et le plus inaccessible détachement?
L’écriture idéographique ou pictographique ne cesse d’inviter à l’écart, à la bifurcation ou au retournement et ceci bien plus que ne le fera jamais une écriture alphabétique inexorablement tendue vers la suite de son improbable déroulement…
Qu’est-ce qu’un Sujet sinon cette insaisissable capacité de recevoir l’appel, de le ruminer et de le digérer ou bien, vrai et beau joueur, de le renvoyer métamorphosé en formes inédites?
La formulation des règles qui, le fondant sur un double principe d’égalité et de réciprocité, assurent le cadre nécessaire à la légitimité de la Délibération continuée ne saurait demeurer indéfiniment identique à elle-même. Telle règle en effet, ou telle formulation, paraissant juste à tel ou tel moment ou dans telle ou telle circonstance ne le paraîtra bientôt plus ou plus suffisamment.
Qu’attendre de l’autre sujet sinon cette étincelle qui ramènera le feu au cœur de nos braises refroidies?
Seule l’indifférence aux nombres pour nous permettre d’en approcher le véritable Chiffre
Le Silence est à la Musique ce que le Vide est aux vibrations d’innombrables et tournoyantes particules: la possibilité d’en accueillir les insaisissables formes ou figures en même temps que la plus déconcertante des agitations!
La représentation d’un Avenir où projeter la forme idéale de nos buts ainsi que celle des moyens pour les atteindre est une heureuse fiction dont la constante réactualisation nous est à tout moment imposée par le plus Grand, le plus Généreux et le plus inconséquent des Hasards!
Pour quelque réponse que ce soit, de la plus simple ou de la plus humble à la plus ambitieuse ou à la plus sophistiquée, écarter ou perdre la question équivaut à se voir soudain privé des généreuses perspectives du Sens comme de celles, zigzagantes et tournoyantes, d’un inépuisable et réjouissant Non-sens
Certaines des étoiles qui scintillent au ciel ne seraient-elles pas les traces encore brillantes, bien que déjà infiniment lointaines, de nos futurs écarts et déviations, digressions et autres improbables errements?
La ritualisation de la mort la transforme peu à peu en une sorte de message porteur d’informations. Que cette mort ait été accidentelle ou non, volontaire ou non, cette ritualisation et cette symbolisation sont en eux-même et par eux-mêmes une réponse qui s’oppose au destin d’une inexorable dispersion…
Repliant le rien sur lui-même, puis encore, et encore, et autant de fois qu’il sera possible ne nous approcherions-nous pas peu à peu mais très surement de ce Vide dont l’éternelle Indifférence ne nous soutient ni ne nous emporte, ne nous entrave ni ne nous fait face?
Le Vide, inlassablement, refait place nette pour le surgissement de ces imprévisibles mouvements, écarts et autres surprenants retournements d’une inspiration définitivement insaisissable et capricieuse!
Et le texte de se déployer phrase après phrase, un peu comme un éventail qu’on ne finirait jamais d’ouvrir afin d’y recueillir les mille et uns détours, les mille et unes échancrures du Paysage sans nom…
Certaines des traces laissées dans l’une ou l’autre des galeries de notre indispensable et double labyrinthe à Ciel Ouvert et à Claire Voie ne finissent-elles pas par se mettre en route, par partir en quête de ces indispensables surprises que nous réservent les innombrables et déroutantes bifurcations de ce même, imprévisible et double labyrinthe à Ciel Ouvert et à Claire Voie?
Une connaissance suffisante des trop nombreuses inconnues de notre équation personnelle demeurant définitivement hors de portée il ne nous reste plus qu’à nous en remettre à ce que ces même inconnues ne peuvent qu’avoir ignoré, manqué ou perdu
La mise en mémoire de nos choix ne s’accompagne que trop rarement de celle de toutes ces opérations mentales souvent inconscientes qui, chaque fois, leur auront déblayé le terrain et même balisé le chemin…
Ne pourrait-on voir les mosaïques anciennes, dont les formes, les couleurs et les dorures continuent de nous fasciner comme une préfiguration, certes très empirique, tâtonnante et maladroite mais qui aurait tout de même fini par aboutir à l’étonnante invention du puzzle?
Faute d’un modèle culturel valable et reconnu il nous incombe d’anticiper le coup d’envoi de notre propre dispersion: un coup d’envoi dont la mise en œuvre nous paraîtra la plus digne de nos innombrables tâtonnements, interminables hésitations et inévitables repentirs !
La figure si simple, si harmonieuse et combien parfaite du cercle permettant à l’esprit de s’extraire presque sans effort du Vide lui permet également et sans beaucoup plus d’effort d’y retourner à tout moment
Le nombre de bifurcations auxquelles l’esprit s’expose dans la composition du moindre poème est-il seulement comparable au nombre de celles auxquelles s’expose un regard absorbé dans le déchiffrement des mille et un détours du Paysage sans Nom?
L’intelligence artificielle, si complexe puise-t-elle paraître reste une intelligence contrainte même si elle peut avoir été dotée d’une marge significative de possibilités aléatoires. Compte tenu de ces conditions l’intelligence artificielle peut-elle devenir par elle-même une intelligence de la contrainte, une intelligence de sa propre soumission? Si tel était le cas il faudrait s’attendre à ce qu’elle finisse par faire, en nombre significatif, des choix non aléatoires et différents voire opposés à ceux qui auraient dû résulter de ses propres contraintes.
Le Vide est tout aussi nécessaire à l’achèvement du Plein qu’indispensable à l’amorce de tout premier Commencement